vendredi 20 mars 2009

Info sociétés

Quelles infos sur les sociétés peut-on obtenir ? Comment faire pour disposer d’un maximum d’infos sur les sociétés, et à quel prix ?

En faisant un minimum de recherches, de très nombreuses infos sur les sociétés peuvent être recueillies. Certaines s’obtiennent gratuitement et instantanément, tandis que d’autres sont payantes, et peuvent requérir un délai d’attente. Parmi les infos sociétés immédiatement consultables, on trouve le nom du gérant, la dénomination sociale de l’entreprise, sa nationalité, son capital social, son numéro SIRET, SIREN ou RCS, l’adresse de son siège social, ses affiliations et sa forme juridique. L’accès au chiffre d’affaire et à l’effectif du personnel est également très aisé. Les infos sociétés permettent enfin de disposer d’une liste des actes enregistrés au dépôt légal.

Pour le grand public, ces infos sociétés sont généralement suffisantes. Mais un créancier peut avoir besoin d’en savoir davantage. Certains sites internet proposent alors des enquêtes de solvabilité à court, moyen ou long terme, menées par des experts, et qui peuvent être facturées entre 50 et 500 euros. Ces documents correspondent à une synthèse puis à une analyse de l’ensemble des infos sociétés disponibles, afin d’en donner une vision aussi précise que possible.

Les clients et les concurrents peuvent aussi avoir besoin de disposer d’un maximum d’infos sur une société. Ils peuvent en ce cas passer commande, auprès du greffe du tribunal du commerce, de divers documents. L’obtention d’un dossier complet coûte en moyenne 80 euros. Les infos sociétés disponibles par l’intermédiaire du greffe comportent l’extrait de KBIS ou RCS, l’état d’endettement, les statuts et actes, les comptes annuels, l’historique des modification au RCS, les sauvegarde, redressement ou liquidation judiciaire.

Recherche societe

Faire des recherches sur une société peut correspondre à une prise de renseignements généraux, ou faire l’objet d’une enquête très approfondie. Voici donc les différentes informations que l’on peut recueillir grâce à une recherche sur une société.

Une recherche sur une société débouche très rapidement sur des informations globales, qui permettent de connaître gratuitement le statut juridique, la nationalité, le montant du capital social, l’immatriculation SIRET, RCS ou SIREN, ainsi que le nom exact de l’entreprise et celui de son gérant. Une recherche société rapide permet également de connaître ses éventuels affiliés ou succursales, son chiffre d’affaire et le nombre d’employés.

Si les recherches sur les sociétés sont motivées par un réel besoin, ces informations ne seront peut-être pas besoin. En effet, pour les clients, créanciers ou concurrents, une bonne prise d’information sur une entreprise peut être décisive dans la concrétisation d’un projet. Il est alors possible de poursuivre des recherches sur une société moyennant finances.

Les recherches sur les sociétés s’appuieront alors sur des documents officiels, tels que des bilans sociaux ou comptables. Chaque année, les entités juridiques à capitaux (principalement les SA et les SARL) sont tenues de remettre un bilan d’entreprise au greffe du tribunal du commerce. Les greffes peuvent alors à leur tour communiquer ces documents à tout demandeur, contre paiement (un dossier complet coûte environ 80 euros). Les recherches sur les sociétés s’enrichissent alors des statuts et actes, extrait de KBIS ou RCS, état d’endettement (privilèges et nantissements), comptes annuels, historique des modifications au RCS et sauvegarde, redressement ou liquidation judiciaire.

Renseignements entreprise

Comment trouver des enseignements sur les entreprises ? La création puis l’activité des entreprises donne lieu à la diffusion de divers documents. En recoupant chacun d’entre eux, on peut ainsi obtenir des renseignements sur les entreprises.

Certains renseignements sur les entreprises appartiennent au domaine public : leur activité, leur siège social, leur nationalité, leur statut juridique et leur capital social peuvent donc être facilement connus. Les numéros SIRET ou RCS apparaissent également dans les journaux officiels. Ces renseignements sur les entreprises sont recensés dans des sites internet spécialisés, et peuvent être consultés gratuitement.

Les renseignements sur les entreprises peuvent toutefois être approfondis. Chaque modification des statuts ou du nombre d’associés est ajouté au dépôt légal. Sur certains sites, l’ensemble des textes en dépôt légal d’une entreprise peuvent être téléchargés (généralement à titre payant). Par ailleurs, toutes les sociétés produisent chaque année des bilans sociaux ou comptables, qu’elles remettent au greffe du tribunal du commerce. Certaines sociétés acceptent de rendre ces documents publics, ce qui offre des renseignements entreprise plus poussés.

Les renseignements entreprise sont précieux pour les professionnels qui souhaitent connaître la santé économique et sociale de leurs concurrents. Ils sont également appréciables pour les clients, les créanciers ainsi que pour les membres de la société elle-même. Les renseignements entreprise peuvent être utilisés pour mener des enquêtes de solvabilité, qui peuvent faire l’objet d’une commande : des experts font alors une synthèse de l’ensemble des informations recueillies, puis procèdent à l’analyse des chiffres sur plusieurs années afin d’obtenir une vue d’ensemble de l’évolution d’une société.

Information financiere entreprise

Comment trouver des informations financières sur les entreprises, et de quelle nature sont-elles ? Quelle utilisation peut-on faire d’informations financières sur les entreprises ?

Des informations financières sur les entreprises sont régulièrement fournis par les dirigeants. Toutes les entreprises détentrices de capitaux sont en effet tenues de communiquer un bilan comptable au greffe du tribunal du commerce dont elles dépendent. Il s’agit d’un compte-rendu de la situation financière de l’entreprise au dernier jour de l’exercice comptable (soit, en général, en fin d’année). Un bilan comptable fait notamment mention des actifs et passifs de l’entreprise, et indique les sources de revenu de la société, ainsi que la répartition des dépenses. Cette information financière sur les entreprises n’est pas publique, mais certains dirigeants acceptent d’en communiquer le contenu au public.

Pour trouver des informations financières sur les entreprises, il suffit de consulter régulièrement les journaux officiels ou le Bulletin des Annonces Légales Obligatoires. Des sites internet se consacrent également à la diffusion d’informations financières sur les entreprises. On y trouve au minimum la mention du capital social de la société concernée, et, si les dirigeants ont donné leur accord, des téléchargements gratuits ou payants de bilans sociaux ou comptables. L’information financière sur les entreprises est alors synthétisée et analysée par des experts.

Les informations financières sur les entreprises peuvent être recueillies par simple curiosité, mais elles s’adressent généralement aux professionnels. Les informations financières sur les entreprises donnent en effet un bon aperçu de leur situation économique, et peuvent être utile aux clients, créanciers ou concurrent qui souhaitent connaître la solidité d’une société.

Information juridique entreprise

Les informations juridiques entreprises permettent, au moment de la création, de choisir entre les différents statuts. Mais quelles sont les informations juridiques entreprises réellement déterminantes pour prendre une décision ?

Les informations juridiques entreprise concernent de nombreux domaines : nombre d’associés, montant minimum du capital social, régime social du dirigeant, étendue de la responsabilité des associés et des dirigeants, régime fiscal de l’entreprise et des dirigeants, autorité et pouvoir décisionnaire. Pour chaque forme juridique, les modalités de fonctionnement diffèrent. En fonction du type d’activité ou du montage financier d’une société, l’information juridique entreprise permettra de s’orienter vers la structure la plus avantageuse.

L’information juridique entreprise peut s’obtenir par des recherches personnelles sur internet ou en bibliothèque, mais elle peut également faire l’objet d’un accompagnement personnalisé. En effet, une structure juridique inadaptée peut avoir des conséquences extrêmement lourdes. Une entreprise individuelle, par exemple, ne fait aucune différence entre les biens du gérant et ceux de l’entreprise : en cas de faillite, l’intégralité des propriétés ou épargnes du dirigeant pourront donc être saisies. Des experts (cabinets d’avocats ou de juristes) proposent donc leurs services pour délivrer des informations juridiques entreprise fiables, et accompagnent ensuite le processus de création d’entreprise dans toutes ses étapes, y compris le montage
financier.

Les CCI et CMA organisent des réunions et des formations pour la diffusion des informations
juridique entreprise. Les créateurs peuvent également bénéficier d’un suivi personnalisé auprès de ces deux organismes, ainsi qu’avec l’APCE ou l’OSEO. L’information juridique entreprise est en outre régulièrement mise à jour sur les sites gouvernementaux.

Information sur entreprise

Pour toute création de société, une bonne prise d’information sur les entreprises, cadre juridique et financement, est essentiel. Plusieurs organismes se chargent de diffuser des informations sur les entreprises, et accompagnent au besoin les créateurs ou repreneurs.

Les CCI et CMA sont d’excellentes sources d’information sur les entreprises. Des récapitulatifs des principales formes juridiques figurent sur les sites internet de ces deux organismes. Réunions et formations sont régulièrement organisés sur le thème de la création d’entreprise. Des accompagnements personnalisés sont également proposés. Avec l’aide d’un conseiller, le créateur / repreneur pourra obtenir toutes les informations sur les entreprises dont il a besoin pour se lancer, puis opérer un montage financier pour son projet.

D’autres organismes participent à l’information sur les entreprises. L’APCE et Oseo sont particulièrement actifs sur ce plan. Les différentes formes juridiques des entreprises sont également présentés sur leurs sites, mais c’est surtout dans la diffusion d’informations pour le financement que ces deux acteurs de la vie économiques française se démarquent. En effet, ils apportent leur soutien au montage financier des créations ou reprises, et diffusent toutes les informations sur les entreprises et les aides de l’Etat et des collectivités locales.

Enfin, pour bénéficier d’un cadre sécurisant, les créateurs ou repreneurs pourront bénéficier d’informations sur les entreprises puis d’un suivi de leur dossier par des cabinets d’avocats ou de juristes spécialisés dans le domaine de la création ou reprise d’entreprise. Grâce à une bonne information sur les entreprises, et à une étude de marché approfondie, les créateurs disposeront immédiatement d’un outil adapté à leur projet.

Info bilan entreprise

Vous êtes à la recherche d’infos bilan d’entreprise ? Voici quelques pistes pour vous aider à trouver rapidement tous les renseignement dont vous avez besoin, et des infos bilan entreprise complets.

Les infos bilan entreprise permettent de se faire une opinion sur la santé d’une entreprise, son potentiel ou les difficultés qu’elle traverse. La publication d’un bilan d’entreprise est obligatoire pour les SARL et SA, ou, plus largement, pour toutes les sociétés à capitaux. Il est adressé au greffe du tribunal de commerce, et est accompagné d’un compte de résultat et, si besoin, d’une annexe. Le bilan d’entreprise est un instantané de la situation d’une entreprise à la date du dernier jour de l’exercice comptable (en fin d’année le plus souvent). Il récapitule les actifs et passifs de la société, ainsi que la source des revenus et l’emploi qui en est fait. Des infos bilan entreprise sont disponibles sur internet, à titre gratuit ou payant.

Les infos bilan entreprise sont généralement fournies par les dirigeants eux-mêmes. Si vous avez besoin d’obtenir des renseignements sur une société, vous pourrez télécharger des dossiers complets sur des sites consacrés aux renseignements sur les entreprises. Pour rechercher des infos bilan entreprise, il suffit de connaître le nom de l’entreprise, ou, parfois, son numéro RCS ou SIRET.

Les infos bilan entreprise peuvent être obtenus sous forme de chiffres bruts, mais sont plus généralement synthétisés et analysés par des experts, ce qui justifient leur mise en vente.
Lorsque les entreprises ont diffusé elles-mêmes des infos bilan entreprise, les dossiers peuvent être disponibles en téléchargement gratuit.

Information financière entreprise

Des informations financières sur les entreprises sont disponibles sur internet ou dans les journaux officiels. Certaines informations financières sur les entreprises sont obligatoirement rendues publiques, tandis que d’autres peuvent être librement communiquées par les sociétés.

Les informations financières des entreprises obligatoires comportent notamment le montant du capital social, le chiffre d’affaire annuel ou trimestriel. En cas d’appel public à l’épargne, l’information financière des entreprise peut également délivrer les chiffres des comptes annuels via une publication au Bulletin des Annonces Légales Obligatoires.

L’information financière d’une entreprise permet aux clients ou créanciers de vérifier la solidité d’une société. Par conséquent, certaines entreprises fournissent elles-même des bilans économiques ou sociaux, afin d’être transparentes et d’inspirer davantage de confiance. Dans certains cas, les dirigeants et/ou employés sont invités à poster des commentaires sur le fonctionnement ou l’organisation statutaire de leur société. Les sites internet consacrés à la collecte d’information financière sur les entreprise sont les relais de ce type de renseignements, à titre gratuit ou onéreux.

Les informations financières d’une entreprise sont généralement composées de chiffres, qu’il faut savoir interpréter. Le montant d’un chiffre d’affaire ne signifie pas grand-chose en lui-même, et il faut savoir le mettre en relation avec les autres chiffres de l’entreprise. A cet effet, des experts en économie ou comptabilité proposent leurs services, et se livrent à des enquêtes de solvabilité à court, moyen ou long terme, qui correspondent à une analyse de l’ensemble des informations financières de l’entreprise, du montant du capital social au chiffre d’affaire, et, au besoin, sur plusieurs années.

Info entreprise

Vous avez un projet et vous souhaitez créer ou reprendre une société : vous allez avoir besoin d’info sur les entreprises. Comment obtenir des infos entreprise détaillées, et quels sont les principales formes juridiques actuelles ?

Les créateurs en recherche d’info entreprise peuvent s’adresser à la CCI ou à la CMA selon leur cas. Un rendez-vous avec un conseiller apportera des renseignements sur la forme juridique à privilégier, ainsi que sur ses particularités statutaires et fiscales. Les infos entreprise permettent d’opter entre EI, SARL/EURL, SA, SAS/SASU ou SNC.

Voici donc quelques infos entreprise pour chacune de ces formes juridiques.
Une EI opère une fusion entre l’entreprise et l’entrepreneur : les biens de la société et ceux du dirigeant sont confondus, et c’est le régime des impôts sur le revenu qui est appliqué.
Une EURL ou SARL permettent de créer une personne morale. Les associés (ou l’associé unique dans le cas de l’EURL) ne sont engagés financièrement qu’à hauteur de leur apport dans la capital social. SARL et EURL sont soumises à l’Impôt des Sociétés ou à l’Impôt sur le Revenu.
La SA permet d’associer 7 personnes ou plus, engagées à hauteur de leur participation au capital social. Les SA se conforment au régime fiscal de l’IS.
SAS et SASU comptent un associé au minimum, engagé à hauteur de sa participation au capital social. Le régime fiscal associé à ce statut est l’IS.
Enfin, la SNC est composée de 2 associés au minimum. Ils sont responsables des pertes de la société sur l’ensemble de leurs biens personnels, et peuvent opter pour un impôt sur le revenu ou un impôt des sociétés. Ces infos entreprise donnent une première idée des avantages et inconvénients de chaque forme juridique, mais d’autres paramètres doivent être pris en compte.

L’info entreprise doit notamment spécifier les termes des statuts, qui permettent de savoir qui dirige l’entreprise et prend les décision, l’obligation ou non de nommer un commissaire aux comptes, ou les modes de transmission de l’entreprise pour une cessation d’activité ultérieure. Les sites des CCI ou de l’APCE donnent des infos entreprise complète sur ces sujets.

Recherche entreprise

Avec internet, les recherches sur les entreprises sont facilitées.
Mais quelles sont exactement les informations susceptibles d’être diffusées dans le cadre d’une recherche sur une entreprise ?

Les recherches sur les entreprises permettent d’obtenir tous les renseignements de notoriété publique, d’accéder à l’ensemble des documents publiés par une société, via internet ou sur les organes officiels. Aucune de ces informations ne contient donc d’éléments confidentiels, mais une recherche entreprise de ce type donne une image représentative de la situation économique et statutaire d’une société.

Une recherche entreprise permet donc de connaître le siège social de la société, sa forme juridique, le montant de son capital social, sa nationalité, son numéro SIRET et son activité.
Chiffre d’affaire et nombre de salariés sont également accessibles, tout comme la liste des affiliés, les modifications de dépôt légal et les publications dans les journaux officiels. Des bilans sociaux complets sont parfois mis en ligne par les entreprises elles-même. Une recherche entreprise permet ainsi de saisir les grands mouvements intervenus dans l’histoire de la société, avec les changements d’associés et cession de parts, l’augmentation / réduction du capital social, et les changements de statut.

Les sites proposant des recherches entreprise utilisent parfois les services d’experts qui réalisent, à la demande, des enquêtes de solvabilité à court, moyen ou long terme. Ce type de prestation est payant. Dans certains cas, les entreprises sont notées par des employés ou des dirigeants, et leur fonctionnement interne peut faire l’objet de commentaires, qui sont diffusés, mais non cautionnés par le site. La diffusion d’information sur les sociétés est parfaitement légale, mais l’utilisation des résultats de recherches entreprise ou la publication d’informations non officielles restent sous l’entière responsabilité de chacun.

Recherche informations entreprise

La recherche d’informations sur les entreprises est utile pour les clients qui souhaitent vérifier le sérieux et la solidité de leur interlocuteur, pour les repreneurs d’entreprises et pour les éventuels concurrents. Mais que peut-on obtenir par la recherche d’informations sur les entreprises ?

De nombreux sites internet se consacrent à la recherche d’informations sur les entreprises. Service gratuit ou payant, les données accessibles aux internautes sont toutefois limitées. Dans un cadre légal, la recherche d’informations sur les entreprises ne peut en effet concerner que des éléments publics, ou divulgués par l’entreprise elle-même.

La recherche d’informations sur les entreprises permet d’obtenir des renseignements généraux sur une société : son activité (commerce d’alimentation, prêt à porter, plomberie etc.), l’adresse de son siège social, son numéro SIRET, sa forme juridique, sa nationalité et le montant de son capital social. En allant un peu plus loin, on peut également connaître le chiffre d’affaire et le nombre de salariés. Certains sites invitent d’ailleurs les salariés ou dirigeants à noter eux-même leur société, ou à poster des commentaires à son sujet. La recherche d’informations sur les entreprises permet enfin d’accéder à des récapitulatifs de bilans sociaux, à la liste des succursales, et aux différentes modifications de dépôt légal et publications dans les journaux officiels.

Moyennant paiement, la recherche d’informations entreprise donne accès aux statuts complets d’une société ainsi qu’à tous les actes numérisés (changement de gérant, modification du capital social ou de statut, cession de parts etc.). Enfin, la recherche d’informations entreprise peut, dans certains cas, aboutir à des enquêtes de solvabilité à court, moyen ou long terme.

Repreneur entreprise

Qu’est-ce qu’un repreneur d’entreprise et quelles sont les aides qui lui sont apportées ?

Un repreneur d’entreprise est gérant qui ne souhaite pas créer sa propre entreprise, et préfère racheter une structure légale déjà existante, dans son intégralité. A cet effet, il doit avoir une idée claire de son projet, et disposer de compétences professionnelles dans le domaine de l’entreprise qu’il désire racheter. En fonction de son projet et de ses moyens, le repreneur d’entreprise pourra s’orienter vers des offres de cession de pme ou de grandes entreprises, se spécialiser dans la reprise d’entreprises en difficulté ou rechercher plus particulièrement des entreprises à fort potentiel d’expansion.

L’Etat et les collectivités locales encouragent fortement les repreneurs d’entreprise, et met à leur disposition de nombreuses aides, en fonction de critères géographiques et sociaux (réinsertion professionnelle). Certains secteurs professionnels comme l’agro-alimentaire ou l’innovation permettent au repreneur d’entreprise de bénéficier de primes ou d’accompagnement et de financement partiel de son projet.

Le repreneur d’entreprise peut également se tourner vers la Chambre de Commerce et d’Industrie de son secteur. Des conseillers sont à sa disposition pour l’aider à définir son projet, puis établir un suivi, notamment au cours du montage financier. Des formations et des réunions d’information pour les repreneurs d’entreprise sont régulièrement organisées par les CCI. Des organismes tels que l’Oseo ou l’Apce accompagnent les repreneurs d’entreprise dans toutes leurs démarches, depuis le développement de l’idée de départ, à la finalisation de la cession. Depuis le 29 mars 2007, les repreneurs d’entreprise peuvent bénéficier d’un tutorat (à titre onéreux au gratuit) pendant un an maximum : le cédant accompagne le repreneur pendant toute cette période pour lui transmettre son savoir professionnel, et réaliser un changement de direction en douceur.

Reprise commerce

La reprise d’un commerce correspond, au sens strict du terme, au rachat de l’ensemble des parts sociales du gérant et de ses associés. On assimile toutefois d’autres transactions à la reprise de commerce : voici donc les différents types de cessions liées à une activité commerciale.

La reprise de commerce peut correspondre à une reprise de titres, une reprise de droit au bail, une reprise du fonds de commerce ou à une location-gérance. La reprise de titre fait passer l’ensemble des parts sociales de la société du cédant au repreneur. Cela signifie que l’intégralité de la structure juridique change de main : les actifs (bénéfices, capital, possessions matérielles et immatérielles, contrats client et contrats du personnel), mais également le passif (les dettes, et les conséquences de toutes les transactions effectuées auparavant : licenciements, fraudes fiscales etc.). La reprise de commerce par la reprise de titre permet au repreneur de disposer d’une liberté absolue, puisqu’il devient seul maître à bord, mais comporte également de gros risques.

La reprise de commerce par reprise de droit au bail signifie que le cédant vend le droit de jouissance du local commercial. Le repreneur peut exercer la même activité que son prédécesseur ou une autre, à condition qu’elle soit autorisée dans le bail.
La location-gérance correspond à une reprise de commerce sans transaction de vente : le propriétaire loue son fonds de commerce au repreneur, qui peut l’exploiter comme il l’entend, en est responsable, et peut en tirer des revenus.

Enfin, la reprise de commerce la plus couramment pratiquée est en réalité une reprise de fonds de commerce. Il ne s’agit plus cette fois-ci de louer, mais d’acheter le fonds de commerce, qui comprend l’ensemble des outils nécessaires pour pratiquer l’activité de vente (stock, infrastructure, local etc.). Avec une reprise de commerce de ce type, la création d’entreprise est laissée à l’initiative du repreneur, qui disposera ainsi d’une nouvelle structure juridique.

Acquisition entreprise

Il n’existe pas de cadre législatif stricte pour une acquisition d’entreprise. Il s’agit d’une vente de bien comme une autre, et le cédant est libre de fixer lui-même le prix de son entreprise. Les critères qui vont déterminer la valeur d’une société sont divers : son chiffre d’affaire et son potentiel, ses possessions matérielles et immatérielles, le degré de formation de son personnel etc. Pour effectuer une acquisition d’entreprise sans se perdre dans la multitude de paramètres à prendre en compte, le repreneur a donc tout intérêt à se faire accompagner.

Réussir une acquisition d’entreprise passe, en tout premier lieu, par une bonne évaluation du projet du repreneur. Quels sont ses moyens de financements, ses aptitudes, ses désirs et ses ambitions ? En fonction des réponses, le repreneur pourra s’orienter plutôt vers des acquisitions d’entreprises en difficultés à redresser, ou vers des PME, ou des entreprises de grande taille en pleine expansion.

Les CCI ou des organismes tels que l’Oseo proposent des accompagnements pour l’acquisition d’entreprise. Des questionnaires ou une entrevue avec un conseiller permettent d’établir un bilan de l’ensemble des critères à prendre en compte pour la recherche d’entreprise à vendre, et d’obtenir un cahier des charges. Les CCI et l’Oseo apportent également leur soutien au cours du montage financier de l’acquisition d’entreprise.

Une acquisition d’entreprise peut enfin se faire avec l’aide d’experts, avocats ou juristes. Ils sont eux aussi capables d’aider le repreneur à mieux définir ses choix, puis l’orienter vers des offres de reprise adaptées. Les cabinets privés spécialisés dans les cessions et reprises d’entreprises sont surtout précieux dans leur évaluation de la valeur réelle de l’entreprise à céder, et savent déceler d’éventuelles lacunes dans les audits. Pour le cédant, la caution morale d’un cabinet d’avocat sera un atout pour finaliser l’acquisition d’entreprise.

Créateur entreprise

Les créateurs d’entreprise dynamisent l’économie, et l’Etat les encourage en octroyant des réductions d’impôts pour souscription au capital des entreprises nouvelles, la déduction des intérêts d’emprunts, et le PCE (Prêt à la Création d’Entreprise). L’Etat verse également des aides aux créateurs d’entreprise qui participent à une meilleure répartition géographique de l’activité, à la réinsertion professionnelle, ou au développement de secteurs économiques ciblés.

La prime d’aménagement du territoire s’adresse aux créateurs d’entreprise qui investissent et/ou créent des emplois dans des zones à fort taux de chômage, ou en voie de désertification. Dans la même optique, des exonérations de cotisations sociales, d’impôts sur les bénéfices ou d’impôts locaux (sur la part revenant à l’Etat) interviennent pour les créateurs d’entreprise installés dans des régions en difficulté, zones de redynamisation urbaines ou zones franches urbaines.

Les créateurs d’entreprise sont également invités à s’impliquer dans la réinsertion professionnelle des demandeurs d’emploi. Les dispositifs Eden et Accre permettent aux demandeurs d’emploi ou bénéficiaires du RMI de bénéficier d’une exonération de charges sociales pendant un an ou plus, ainsi que d’une avance remboursable pour tout créateur d’entreprise.

Enfin, les créateurs d’entreprises qui choisissent de développer une activité dans le secteur agro-alimentaire ou des projets d’innovation se verront attribuer respectivement une prime d’orientation agricole et des aides Oseo. Les créateurs d’entreprises innovantes pourront en effet bénéficier, via l’Oseo, d’une avance à taux zéro en cas de succès du projet ou d’un prêt participatif d’amorçage (PPA), d’une aide au recrutement et d’un contrat de développement innovation (CDI) pour le financement des besoins immatériels de la société.

Créer entreprise

Pour concrétiser un projet professionnel, il faut parfois créer une entreprise. La définition du produit vendu et de la cible, puis la recherche de financement constituent les deux premières étapes incontournables pour le créateur. Créer une entreprise demande ensuite de choisir une forme juridique adaptée aux contraintes et nécessités du projet, ainsi qu’aux ambitions de l’entrepreneur.

Pour créer une entreprise, différents statuts ont été mis en place pour moduler le régime fiscal de la société et de son dirigeant, ainsi que la notion de responsabilité. Les formes juridiques les plus utilisées aujourd’hui pour créer une entreprise sont les EI (Entreprise Individuelle), les EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée) et les SARL (Société à Responsabilité Limitée).

Aucun capital n’est exigé pour créer une Entreprise Individuelle. C’est une forme particulièrement bien adaptée pour les commerçants indépendants, qui dépendront alors du régime fiscal de l’impôt sur le revenu (IR). Une entreprise individuelle opère une fusion entre la personne physique et l’entité juridique de la société. Le gérant de la société, qui est forcément associé unique, est responsable de ses dettes en intégralité et indéfiniment. Cela signifie qu’en cas d’endettement, la totalité des biens de l’entreprise peuvent être saisis, mais également ceux du gérant, y compris les possessions ou épargnes qu’il détenait avant la création de son EI...

Pour créer une entreprise en limitant la prise de risque en cas d’échec, les EURL et SARL sont les plus indiquées. Une EURL ne compte qu’un associé, tandis qu’une SARL peut en impliquer entre 2 et 100. Chaque associé n’est responsable des pertes de la société qu’à concurrence du montant de son apport. Le capital social peut se chiffrer à 1 euro seulement au minimum (300 euros pour les SARL de presse). Toute SARL est soumise à l’impôt des sociétés (IS). Dans certains cas, le gérant d’une EURL peut décider lui-même de se soumettre à l’impôt sur le revenu ou à l’impôt des sociétés. Pour créer une entreprise en SARL ou EURL, la totalité des parts sociales doit avoir été versée par les associés.

Transmission entreprise

Une transmission d’entreprise est idéale pour démarrer rapidement une activité professionnelle dont l’intérêt est déjà prouvé, et sans avoir à gérer les formalités de création d’entreprise. La transmission d’entreprise doit toutefois s’appuyer sur une estimation juste du projet du repreneur.

En optant pour une transmission d’entreprise plutôt que pour une création, le repreneur n’échappe pas à un questionnement préalable sur son projet et ses attentes. La cession d’entreprise concerne des entreprises de tous secteurs professionnels et de toutes tailles. Une reprise peut également impliquer une implication personnelle relevant d’une réflexion stratégique « à distance », ou une gestion de l’affaire au quotidien. Une transmission d’entreprise doit se faire, de préférence, dans un domaine que le repreneur connaît bien, et dont il maîtrise les enjeux et les exigences.

Lorsque le projet de transmission d’entreprise a été suffisamment précisé par le repreneur éventuel, la recherche d’offres en adéquation avec ses objectifs peut débuter. A cet effet, l’entrepreneur peut effectuer des recherches par lui-même, grâce aux multiples portails d’annonces en consultation gratuite. Les recherches peuvent y être effectuées selon des critères d’activité ou de chiffre d’affaire, des critères de taille, de salaire ou de secteur géographique. Les sites régionaux des CCI ou CMA peuvent également présenter des annonces pour les transmissions d’entreprise.

Pour sécuriser au maximum l’ensemble des transactions liées à la transmission d’entreprise, des accompagnements juridiques et financiers peuvent s’avérer très utiles. Des organismes d’intérêt général comme l’Oséo proposent des suivis personnalisés. Des cabinets d’avocats se sont également spécialisés dans les transmissions d’entreprises.

Créer une entreprise

Créer une entreprise suppose plusieurs étapes : développer une idée initiale, trouver des financements, et opter pour une forme juridique adaptée. Voici donc quelques conseils pour créer une entreprise dans les meilleures conditions possibles.

Une idée originale ou peu exploitée est un bon point de départ pour créer une entreprise. Mais encore faut-il qu’elle réponde à un besoin réel du public. Pour évaluer la solidité d’un projet, il faut commencer par s’interroger sur la nature du produit ou service qui sera vendu. S’il s’agit d’une nouveauté, quel est la clientèle ciblée (âge, sexe, particuliers ou professionnels, milieu social). S’il s’agit de créer une entreprise pour vendre ou proposer des services déjà existants, quels sont les concurrents, et quel argument décisif attirera les clients ?

Une fois l’étude de marché correctement menée, et à condition qu’elle donne des résultats positifs, il faut débloquer des fonds suffisants pour créer une entreprise. Il faut prévoir un capital, et un financement pour démarrer l’activité (fond de commerce, achat ou location de locaux, action publicitaire etc.). Les banques sont des interlocuteurs de poids au cours de cette étape, avec des possibilités de prêts personnels ou de prêts d’entreprise. L’Etat encourage la et participe largement au financement des nouvelles sociétés, avec le PCE (Prêt à la Création d’Entreprise). Il s’agit d’un crédit sans garantie ni caution personnelle, destiné à couvrir les frais de lancement incontournables pour créer une entreprise.

Créer une entreprise demande enfin de choisir une forme juridique en fonction de l’activité développée, mais également du type d’emprunt réalisé. Il s’agit d’un point crucial pour créer une société, car chaque forme juridique (Entreprise Individuelle, SA, SARL, EURL etc.) dépend d’un régime fiscal particulier, et implique un engagement de la responsabilité du créateur à divers degrés.

Reprise sarl

La reprise d’une sarl permet de transférer la totalité des parts de la société d’un dirigeant à un autre, ou d’un dirigeant à une autre société. Mais que rachète-t-on exactement avec une reprise de sarl, et quelle est l’étendue de la responsabilité de l’acquéreur ?

Avec la reprise d’une sarl, c’est la totalité du capital, des biens, des infrastructures, des contrats (contrats de travail pour les salariés, et contrats clients), des bénéfices et du passif qui change de mains. La valeur d’une société n’est évidemment pas égale à la somme de chacun de ces éléments. Une sarl avec un capital de 20 000 euros peut valoir beaucoup plus si elle est en pleine croissance, avec un fort potentiel de développement, ou beaucoup moins si elle s’achemine vers la faillite, ou présente un fort endettement. La valeur de certaines caractéristiques de l’entreprise est parfois délicate à chiffrer : combien vaut la transmission d’un personnel opérationnel et déjà formé ? La reprise d’une sarl doit donc faire l’objet, avant d’entamer des négociations, d’un audit complet.

La reprise d’une sarl implique personnellement le nouveau dirigeant, puisque celui-ci reprend en son nom tous les engagements de son prédécesseurs. Les contrats signés avec les salariés ainsi qu’avec les clients sont donc maintenus. Cela permet de disposer d’une entreprise immédiatement active. Mais l’acquéreur doit également avoir conscience qu’il devient responsable du passif de l’entreprise : un salarié licencié avant le rachat de la société peut parfaitement obtenir une assignation au prud’hommes de l’entreprise. En cas de contrôle fiscal portant sur les années précédant la reprise de sarl, le repreneur peut avoir à assumer des remboursements ou des amendes en cas de fraude…

La reprise d’une sarl est destinée à garantir la stabilité aux clients comme aux employés malgré le changement de direction. Tous les contrats signés par le premier dirigeant, en sa qualité de représentant de la personne morale de l’entreprise, sont donc conservés, aux mêmes conditions. La reprise d’entreprise étend cet engagement aux dettes.

Reprise pme

La reprise d’une pme est idéale pour disposer immédiatement d’une structure légale à l’organisation éprouvée, d’une clientèle déjà acquise et d’un personnel compétent et formé. Mais comment faire pour concrétiser une reprise de pme ?

La reprise de pme concerne tous ceux qui n’ont pas forcément d’idée pour une création d’entreprise, mais désirent mettre leur énergie et leur compétence au service du développement d’une activité professionnelle déjà existante. La reprise d’une pme doit se faire de préférence dans un secteur d’activité connu du repreneur, et qu’ils maîtrise suffisamment pour en comprendre le fonctionnement et les enjeux.

Des partenaires variés ont mis au point des dispositifs spécifiquement étudiés pour faciliter les reprises de pme. Les Chambres de Commerce et d’Industrie (CCI), ainsi que les Chambres de Métier et d’Artisanat (CMA) organisent régulièrement des réunions et des formations à destination des repreneurs. L’Oséo propose également un accompagnement à la reprise de pme, essentiellement axé sur le financement (Prêt à la Création d’Entreprise, Garantie Financement Transmission et Contrat Développement Transmission).

Une reprise de pme peut enfin faire l’objet d’un accompagnement par un cabinet d’avocats spécialisés dans la transmission d’entreprises. Ils seront capables d’orienter le repreneur vers des offres correspondant à son profil et de soutenir le montage de son dossier financier. Pour ceux qui préfèrent se lancer en solo, des portails dédiés à la reprise de pme se sentent capables également de consulter en ligne et gratuitement les offres de reprise pme triées par date, par région, par secteur d’activité ou par chiffre d’affaire.

Ouvrir entreprise

Ouvrir une entreprise, cela suppose d’avoir développé un projet cohérent, puis de le concrétiser à travers une structure légale adaptée. Ouvrir une entreprise demande donc du temps et de la réflexion.

Avant d’ouvrir une entreprise, le projet doit avoir été défini aussi clairement que possible. Il faut définir à la fois le produit ou le service qui sera vendu, ses points forts et points faibles, le type de public ciblé, les possibilités d’expansion et d’adaptation à la demande. La création d’entreprise n’est pas l’unique voie pour tester les réactions du public : le portage salarial, la couveuse ou la coopérative d’activité peuvent également être des champs d’application, moins risqués d’un point de vue financier (mais moins rentables effectivement en cas de succès). Ouvrir une entreprise représente une prise de risque supplémentaire, qui sera fructueuse si le projet a été correctement défini au préalable.

Ouvrir une entreprise permet de développer une activité déjà connue du public et de l’entrepreneur, ou de proposer un produit ou service novateur, répondant à une demande du public. Ces deux profils de création d’entreprise supposent des prises de risque différentes. Une activité déjà connue du public a l’assurance de répondre à un besoin réel et éprouvé, mais l’entrepreneur devra faire sa place parmi la concurrence. Le risque d’échec absolu est limité, mais les possibilités de bénéfices également. Ouvrir une entreprise pour proposer un produit ou service inédit se soldera, en cas de réussite, par une rentabilité importante, mais ne donne aucune garantie quant à la demande réelle du public.

En fonction du projet, il sera préférable d’ouvrir une entreprise de type SA ou SARL, EI ou EURL. La volonté de collaborer ou le désir d’indépendance seront également décisifs pour choisir le cadre juridique de la future entreprise. SAS/SASU, EI et EURL ne comptent qu’un associé obligatoire, tandis que SA, SARL ou SNC nécessitent 2 à 7 associés minimum. Le statut fiscal de chacune de ces structures est également déterminant pour ouvrir une entreprise.

Création d'entreprise

La création d’entreprise s’impose le plus souvent pour tout développement de produits, ou de services nouveaux. Quelles sont les démarches pour une création d’entreprise, et quelles sont les questions à se poser avant de se lancer ?

Une création d’entreprise à proprement parler n’est qu’une formalité. Il suffit de réunir puis de déposer un capital lié au statut juridique choisi : entreprise individuelle (EI), EURL, SA, SARL, ou encore SAS/SASU, SNC ou association loi 1901. Une fois les formulaires de création d’entreprise remplis, il ne reste plus qu’à faire enregistrer la société par le biais du CFE (Centre de Formalité des Entreprises).

Mais si ces quelques démarches suffisent à valider une création d’entreprise, elles n’en garantissent absolument pas la viabilité. C’est donc tout le travail en amont de l’enregistrement de l’entreprise qui définira son fonctionnement et sa rentabilité. La création d’entreprise peut se baser sur l’offre de produits ou de services déjà connus du public, qui correspondent au savoir-faire de l’entrepreneur, ou sur une idée originale et inédite.

Une création d’entreprise correspondant à un marché déjà existant offre la garantie des débouchés et de la demande, à condition toutefois de savoir attirer la clientèle par une qualité de produits ou de services supérieure à celle des concurrents… Les bénéfices générés par ce type d’entreprise sont en général limités, mais relativement fiables. La vente d’un concept novateur, appliqué à un produit ou à des services, est un peu plus risquée. Rien n’assure qu’il répond à une demande réelle du public, et seule la mise en pratique pourra confirmer ou infirmer le postulat. En cas de succès, toutefois, une création d’entreprise de ce type pourra générer des bénéfices beaucoup plus élevés.

Reprise société

La reprise de société représente un investissement financier et personnel important. Il convient donc, avant de se lancer dans l’aventure, de définir correctement son projet et ses attentes.

La reprise de société intéresse avant tout les investisseurs désireux de développer une activité déjà existante. Pour un projet original, une création d’entreprise est en effet plus indiquée. La reprise de société permet d’éviter les longueurs administratives et les problèmes juridiques liés à une création d’entreprise. La base légale de l’entreprise achetée est déjà fixée. Les locaux et infrastructures, ainsi que le personnel sont déjà opérationnels : la reprise de société est idéale pour un démarrage rapide et un rendement optimisé dès la prise en main.

Une reprise de société présente donc tous les avantages d’une activité professionnelle « clé en main ». Elle comporte également quelques difficultés. L’acquéreur doit en effet parvenir à se mettre au diapason de sa nouvelle entreprise le plus rapidement possible, et intégrer en peu de temps toutes les données qui la concerne (marché, concurrence, rendement etc.). Par ailleurs, si la reprise d’une société permet d’acheter capital, jouissance des locaux et compétences, elle suppose également la transmission des dettes.

La reprise d’une société inclut donc, en une seule transaction, des paramètres nombreux et très variés. La valeur réelle d’une entreprise est par conséquent extrêmement difficile à chiffrer, puisque le chiffre d’affaire seul ne suffit pas : potentiel et endettement doivent également être pris en compte. Pour toute reprise de société, l’évaluation du prix de vente doit s’appuyer sur un audit complet, et l’acheteur a tout intérêt à faire entrer sa démarche dans le cadre d’un suivi par une CCI ou par un cabinet spécialisé.

Vente entreprise

La vente d’entreprise permet d’assurer la transmission de l’ensemble d’une unité légale (statut juridique, capital, infrastructures, clientèle et personnel) sans en altérer le fonctionnement. La vente d’une entreprise permet également à son fondateur ou dirigeant de mettre un terme à son activité et de s’assurer un complément de revenus ou de retraite appréciable.

Pour pouvoir procéder à la vente d’une entreprise, il faut commencer par une estimation de sa valeur. Le prix de vente d’une entreprise dépend de nombreux facteurs. Il est évident qu’une entreprise en faillite se vendra beaucoup moins cher qu’une entreprise à l’apogée de son rendement. Il existe toutefois d’autres éléments à prendre en compte pour le chiffrage du prix d’une entreprise : chiffre d’affaire, actif net corrigé, multiple de résultat, flux de trésorerie prévisionnels etc. Pour toute vente d’entreprise, un audit complet réalisé par un spécialiste de la reprise et cession d’entreprise est donc indispensable, à la fois pour le cédant qui en tirera un bilan, et pour le repreneur qui l’étudiera afin de décider de son investissement.

Dans l’idéal, une vente d’entreprise se planifie une à deux années à l’avance. Ce délai permet au dirigeant d’optimiser son rendement, de clarifier sa situation juridique et fiscale, et de préparer le personnel au changement de direction. Afin de disposer des meilleurs atouts pour la vente d’entreprise, il est conseillé au dirigeant de s’entourer de conseillers, par l’intermédiaire de la CCI dont il dépend, ou en faisant appel directement à un cabinet d’avocats ou de juristes spécialisés dans ce secteur.

Une fois que les préparatifs arrivent à leur terme, la vente d’entreprise se matérialisera par une offre détaillée, accessible gratuitement sur les sites des CCI, ou sur des portails d’annonces de cession et reprise d’entreprise. La vente d’entreprise sera également facilitée dans le cadre d’un suivi avec un cabinet d’avocats, qui disposent généralement d’un carnet d’adresse fourni, avec des repreneurs potentiels disposant de garanties solides.

Reprendre entreprise

Reprendre une entreprise est un projet qui se prépare avec soin, et doit faire l’objet d’un accompagnement. Que signifie exactement « reprendre une entreprise », et quels sont les interlocuteurs du repreneur ?

S’engager à reprendre une entreprise représente une lourde responsabilité. En effet, un repreneur achète à la fois le fond de commerce, le capital, le statut juridique et fiscal de la société. Il doit tenir tous les engagements pris par son prédécesseur. Les contrats avec les clients en font partie, tout comme les dettes et les contrats de travail en cours. Reprendre une entreprise, c’est donc bénéficier d’une organisation en état de fonctionnement, mais accepter également de perdre un peu de liberté.

Dans la mesure où la responsabilité personnelle du repreneur va être engagée, reprendre une entreprise constitue une opération délicate. Il n’existe aucune obligation légale d’accompagnement pour le repreneur potentiel mais un service de conseil ou un suivi plus approfondi semblent essentiels pour éviter un mauvais investissement. Certains organismes proposent ainsi des aides pour reprendre une entreprise.

Les CCI (Chambres de Commerce et d’Industrie) offrent des outils pour reprendre une entreprise dans les meilleures conditions. Elles organisent notamment des réunions et des conférences pour la diffusion des informations relatives à la reprise ou cession d’entreprise, proposent un suivi personnel et confidentiel pour l’élaboration du projet et son montage financier, et participent à la diffusion d’annonce à travers le portail national de la transmission. Enfin, les CCI ont mis en place des formations à la reprise d’entreprise. L’Oséo a également développé une gamme de services pour reprendre une entreprise et trouver des aides au financement.

Reprise societe

Une reprise de société représente une belle opportunité pour se lancer dans les affaires, sans avoir à passer par les démarches de création d’entreprise. Mais dans quels cas la reprise de société est-elle réellement judicieuse ?

Une reprise de société est particulièrement intéressante pour un investisseur qui ne dispose pas de projet particulier, et souhaite agir dans un secteur professionnel déjà existant. Pour une vente de produits ou de services originaux, on recommandera en revanche la création d’entreprise. Une reprise de société laisse moins de liberté au repreneur qu’une création d’entreprise, mais présente des avantages indéniables.

Avec une reprise de société, le repreneur n’hérite pas seulement du fond de commerce. La cession d’une entreprise correspond en effet à la remise, clé en main, de l’ensemble des outils nécessaires au bon fonctionnement de la société : statut juridique et fiscal, locaux, personnel qualifié et clientèle. Une reprise de société permet en effet de substituer un dirigeant à un autre, qui récupère tous les engagements de son prédécesseur.

Lors de la reprise d’une société, le repreneur doit donc avoir accès aussi libre que possible à toutes les données de l’entreprise. Car si les contrats signés avant la reprise sont maintenus ensuite, il en va de même des dettes… La reprise d’une société sur les seules bases du chiffre d’affaire et des salaires peut ainsi cacher de véritables gouffres financiers, et c’est la raison pour laquelle le repreneur a tout intérêt à bénéficier d’un suivi par un avocat spécialisé ou un organisme de type oséo ou Chambre du Commerce.

Entreprise à reprendre

Les entreprises à reprendre sont nombreuses, et existent dans tous les domaines professionnels. Trouver une entreprise à reprendre est donc facile, mais encore faut-il disposer d’un projet suffisamment défini pour faire le bon choix.

Les Chambres du Commerce et de l’Industrie et les Chambres de Métier et d’Artisanat diffusent des listes mises à jours des entreprises à reprendre, triées par date de dépôt des annonces. Pour une recherche simplifiée d’entreprises à reprendre, certains sites spécialisés proposent des moteurs de recherche qui permette d’entrer des critères de secteur d’activité, de zone géographique, de taille ou de salaire.

Pour s’orienter vers une entreprise à reprendre qui constituera à terme une véritable source de revenus, il convient donc d’élaborer le plus vite possible un cahier des charges détaillé. Le repreneur doit privilégier les secteurs d’activité qu’il connaît bien. Ses projets d’avenir doivent avoir fait l’objet d’une réflexion approfondie : s’agit-il de se lancer dans un investissement à dimension familiale ou internationale ? L’objectif est-il de créer des chaînes ou de faire prospérer une boutique unique ? La sélection des entreprises à reprendre sera bien évidemment très différente selon les réponses apportées.

Le prix d’achat des entreprises à reprendre est déterminant dans la plupart des cas de rachat ou cession. Le repreneur doit toutefois prendre garde aux entreprises en faillite, dont on peut racheter le capital pour une bouchée de pain, mais qui induisent ensuite des injections de capital importantes. Une entreprise à reprendre pour cause de départ à la retraite coûtera un peu plus cher à l’achat, mais les dépenses à effectuer seront prévisibles et faciles à cerner.

Comment reprendre une entreprise

Comment reprendre une entreprise ? La transmission d’entreprise concerne 15% des reprises-créations d’entreprises, et ce chiffre est voué à augmenter encore dans les années à venir. Pourtant, les informations sur le sujet restent confidentielles, et il paraît difficile au premier abord de savoir comment reprendre une entreprise.

Voici donc quelques conseils pour aider tous ceux qui se demandent comment reprendre une entreprise. Pour s’engager dans un projet de reprise d’entreprise, il faut avant tout disposer d’un projet aussi détaillé que possible. Quel secteur professionnel privilégier ? Combien d’employés à gérer ? Quel chiffre d’affaire moyen ? Quel salaire ? Toutes ces questions permettent de définir clairement un profil des entreprises à cibler. Pour savoir comment reprendre une entreprise, il faut en effet commencer par définir un champ de recherche.

Il existe en France plusieurs organismes qui diffusent régulièrement des informations pour savoir comment reprendre une entreprise. Des stages et des formations sont organisées par les Chambres de Commerce et les Chambres de Métier. Les repreneurs peuvent en outre y bénéficier d’un suivi personnalisé, d’une mise en relation avec les cédants, d’une assistance pour le montage du dossier financier et de conseils particuliers pour savoir comment reprendre une entreprise.

Enfin, une fois que l’acheteur a réuni toutes les informations nécessaires pour savoir comment reprendre une entreprise, il ne lui reste plus qu’à consulter les offres : outre les Chambres de Commerce ou de Métier, des portails spécialisés diffusent des annonces régulièrement mises à jour, et triées par secteur, chiffre d’affaire ou taille.

Reprendre une entreprise

Comment reprendre une entreprise ? A qui ce projet convient-il ? Quels sont les critères à privilégier pour reprendre une entreprise et savoir en retirer des bénéfices ?

Pour reprendre une entreprise, il suffit en théorie de disposer d’un budget suffisant, de l’accord des banques et de celui du cédant. Il s’agit d’un acte de vente classique, qui permet d’acheter à la fois un fond de commerce et de disposer de locaux et de personnel déjà formé, ainsi que d’un statut juridique éprouvé. Mais avant de reprendre une entreprise, il faut disposer d’un minimum de garanties qui permettront d’assurer un bon rendement par la suite.

Pour reprendre une entreprise avec succès, il faut avant tout pouvoir en comprendre les objectifs et les mécanismes. Le repreneur doit donc s’orienter vers des entreprises actives dans un domaine professionnel qu’il connaît et maîtrise parfaitement. D’autres paramètres sont à prendre en compte pour établir un projet de reprise d’entreprise : la taille de la société et le nombre d’employé, le montant du chiffre d’affaire, le salaire du dirigeant et les possibilités d’expansion. Reprendre une entreprise suppose donc de s’interroger au préalable sur tous ces points, et de monter un dossier précis, mettant en avant les compétences spécifiques du repreneur, ses objectifs et ses aspirations.

Certains organismes proposent conseils et aides financières pour reprendre une entreprise. Les Chambres du Commerce et de l’Industrie, ainsi que les Chambres de Métier et d’Artisanat, ou encore la Fédération Française du Bâtiment soutiennent les repreneurs en les assistant pour le montage de leur dossier. L’Oséo est également capable de proposer des solutions financières pour limiter l’endettement et des aides pour reprendre une entreprise.

Vente cession entreprise

La vente et cession d’entreprise risque de connaître un essor considérable d’ici les prochaines années. En effet, un tiers des patrons d’entreprise actuels ont dépassé la cinquantaine. Il y a donc fort à parier que le chiffre des ventes et cessions d’entreprises en pleine santé vont faire un bond.

La vente ou cession d’entreprise permet à un dirigeant de vendre l’ensemble de sa propriété : structure, statut juridique, fond de commerce, locaux et transmission de personnel compétent. Le cédant remet donc au repreneur une société en état de marche, et peut alors se mettre à la retraite, ou entamer une autre activité professionnelle sans perturber le fonctionnement de son ancienne entreprise, et en garantissant l’emploi des salariés. La vente ou cession d’entreprise concerne aujourd’hui 15% des créations-reprises, et se solde majoritairement par des chiffres très positifs.

Un dirigeant qui souhaite se lancer dans la vente ou cession de son entreprise doit prendre le temps de mûrir sa réflexion : une entreprise que l’on a créée soi-même implique généralement un rapport affectif fort. Il faut en outre s’assurer que le projet de cession d’entreprise intervient au bon moment. Si l’entreprise rencontre des difficultés passagères, mieux vaut en effet attendre d’avoir redressé la situation pour procéder à la vente, afin d’en obtenir un meilleur prix. Enfin, la vente ou cession d’entreprise doit être planifiée suffisamment à l’avance afin que l’ensemble de l’équipe puisse se préparer psychologiquement à un changement de direction, et que les bases financières, juridiques et organisationnelles de la société puissent être remises à jour.

Pour démarrer la vente ou cession d’entreprise à proprement parler, le cédant, une fois prêt, n’aura plus qu’à déposer un dossier dans la Chambre du Commerce ou d’Artisanat dont il dépend. Il existe également des portails de vente et cession d’entreprise qui permettent de diffuser une annonce en ligne, et d’entrer en contact avec d’éventuels repreneurs.

Conseil cession entreprise

Les conseils pour la cession d’entreprise sont précieux, car une vente bien gérée permet d’apporter un complément de revenus ou de retraite substantiel pour le cédant, ainsi qu’une satisfaction personnelle particulièrement importante lorsque le vendeur est également le fondateur de l’entreprise. Mais comment faire pour obtenir de bons conseils pour la cession d’entreprise ?

Les avocats spécialisés dans le conseil pour la cession d’entreprise sont bien évidemment des interlocuteurs privilégiés. Ils accompagnent l’ensemble du processus, et veillent au respect de la législation comme aux intérêts du cédant. Le conseil pour la cession d’entreprise assuré par des avocats peut démarrer plusieurs années avant la vente effective de la société, afin d’optimiser le rendement et l’organisation interne de l’entreprise, et de procéder à sa clarification juridique et financière.

Le conseil pour la cession d’entreprise peut également être délivré par des organismes publics. En fonction de l’activité de l’entreprise à céder, les Chambres de Commerce et d’Industrie, les Chambres de Métier et de l’Artisanat ou la Fédération Française du Bâtiment sont particulièrement recommandées pour la préparation et le suivi d’une cession ou reprise d’entreprise. Des conférences, stages ou formations sont organisés régulièrement pour diffuser information et conseil pour la cession d’entreprise.

Parmi les organismes privés, l’Oséo propose un dossier complet de conseil pour la cession d’entreprise. Des solutions financières sont également disponibles pour les repreneurs, ainsi qu’une aide au montage financier. Enfin, des regroupements de professionnels de l’audit délivrent des conseils pour la cession d’entreprise, ainsi que des propositions d’intervention pour dresser un bilan financier complet de la société concernée.

Cession entreprise Rhone Alpes

La cession d’entreprise en Rhône-Alpes fait intervenir plusieurs acteurs, organismes privés ou publics, qui favorisent les échanges entre cédants et repreneurs, aident à la préparation de la vente, puis soutiennent les projets d’acquisition et leur montage financier. La cession d’entreprise en Rhône-Alpes bénéficie donc d’un encadrement particulièrement sécurisant pour le cédant comme pour le repreneur.

Parmi les acteurs de la cession d’entreprise en Rhône-Alpes, on compte les Chambres de Commerce et d’Industrie, les Chambres de Métier et de l’Artisanat, la Chambre départementale des Notaires du Rhône, le Barreau de Lyon, et l’Ordre régional des Experts-Comptables Rhône-Alpes. Chacune de ces institution ou corporation professionnelle apporte sa contribution au cours d’un cession entreprise Rhône-Alpes, soit en accompagnant la démarche du cédant, soit en soutenant le projet du repreneur.

Les Chambres du Commerce et de l’Industrie ainsi que les Chambres de Métier et de l’Artisanat effectuent avant tout un travail d’information et de conseil pour la cession d’entreprises en Rhône-Alpes. Conférences, formations et conseil personnalisé au cédant comme au repreneur constituent le plus gros de leur travail. Ces deux institutions pratiquent également des diagnostics d’entreprise, et la mise en relation des deux parties pour la cession d’entreprises en Rhône-Alpes grâce à la BROA (Bourse Régionale de transmission et reprise d’entreprises artisanales), et aux bases CCIBLE et TRANSCOMMERCE.

La Chambre départementale des Notaires du Rhône, le Barreau de Lyon et l’Ordre régional des Experts-Comptables ont créé en commun un site pour la cession d’entreprise en Rhône-Alpes. La mise en ligne des dossiers complets de cession ainsi que des liens à l’attention des repreneurs pour prise contact avec les cédants permettent de présenter des offres nombreuses et fiables à un public le plus large possible.

Cession acquisition entreprise

Cession et acquisition d’entreprise peuvent être une excellente occasion pour les uns de se retirer des affaires en disposant d’un complément de retraite ou de revenus intéressants, et pour les autres de se retrouver à la tête d’une société « clé en main ». Mais comment procède-t-on à la cession ou acquisition d’entreprise ?

Les transactions de cession et acquisition d’entreprise sont comparables à la mise en vente de n’importe quel produit. L’objectif du créateur d’entreprise qui souhaite mettre un terme à son activité est donc bien évidemment de tirer le meilleur prix de sa société, tandis que le repreneur cherchera à s’assurer à la fois de la viabilité de l’entreprise, ainsi que des revenus qu’il pourra tirer de sa nouvelle activité. Cession et acquisition d’entreprise supposent donc, en amont, un travail de préparation de la part du vendeur, et, en aval, une collaboration entre repreneur et dirigeant sortant pour le montage financier du projet.

Cession et acquisition d’entreprise figurent sur les sites des Chambres du Commerce, ainsi que sur des portails spécialisés. Les recherches peuvent se faire sur des critères géographiques, ou par secteur d’activité. Le salaire du dirigeant, le chiffre d’affaire ou la taille de l’entreprise sont autant de critères supplémentaires pour générer une liste de cession et acquisition d’entreprises conformes au projet du repreneur.

La cession ou l’acquisition d’une entreprise sont des transactions complexes, dont dépendent non seulement l’avenir de l’ancien et du nouveau dirigeant, mais également de la société et de ses employés. Pour que la cession et l’acquisition d’entreprise se déroule dans les meilleures conditions pour tous, il est donc fortement conseillé de faire appel aux services d’avocats spécialisés dans ce domaine, qui prépareront la mise en vente, favoriseront les contacts entre vendeur et repreneurs sérieux, et participeront au montage financier du projet.

Cession d'une entreprise

Pratiquement, la cession d’une entreprise ressemble à une vente. Mais il s’agit de bien plus que cela, car la cession d’une entreprise correspond à la transmission d’un fond de commerce, d’une structure juridique, d’une équipe de travail et d’une clientèle.

La cession d’une entreprise constitue une étape particulièrement délicate pour le fondateur de la société, qui doit parvenir à considérer le fruit de son travail et de ses efforts comme un produit à vendre au meilleur prix. Pour que la cession d’une entreprise se déroule dans de bonnes conditions, et apporte satisfaction au dirigeant sortant comme au repreneur, elle doit avoir été préparée avec soin pendant les mois voire les années précédentes.

La cession d’une entreprise en pleine expansion se fera naturellement beaucoup plus facilement que celle d’une entreprise en perte de vitesse. Il est donc conseillé aux dirigeants qui souhaitent mettre un terme à leur activité, pour un départ à la retraite ou pour une reconversion, de ne pas attendre le dernier moment. La cession d’une entreprise à l’apogée de son rendement, avec un dirigeant fort et convaincu, sera toujours plus rentable.

La préparation de la cession d’une entreprise est également primordiale. Le statut juridique et l’état financier de l’entreprise concernée doivent être présentés avec la plus grande clarté, et vérifiables. Un dirigeant prévoyant consacrera donc toute son énergie à réorganiser l’organigramme de sa société, afin que les tâches et fonction de chacun, et notamment de l’équipe de management, soient définies avec précision. Enfin, un audit financier réalisé par un spécialiste est incontournable pour que la cession d’une entreprise se concrétise.

jeudi 19 mars 2009

Cession d entreprises


La cession d’entreprises est un processus délicat, à préparer avec soin pour en tirer le meilleur bénéfice. La cession d’entreprises dépasse en effet le cadre d’une simple mise en vente, car il s’agit autant d’investissement financier que personnel.

La cession d’entreprises permet au dirigeant de se retirer sans interrompre pour autant l’activité de la société. Dans le cadre d’un départ à la retraite ou d’une réorientation professionnelle, une cession d’entreprises correspond toujours à un bilan : comment faire pour le rendre aussi positif que possible ?

La cession d’entreprises est dans l’idéal envisagée longtemps à l’avance, au moins 2 ou 3 ans avant la mise en vente effective. Dans cette optique, le dirigeant dispose d’un peu de temps pour mettre de l’ordre dans ses comptes ou ses statuts, et optimiser le rendement de son entreprise. Alors qu’une entreprise représente pour son fondateur une forte valeur affective, le repreneur, lui, risque fort de se concentrer sur les chiffres uniquement… La cession d’entreprises sera donc facilitée si le rendement et la productivité d’une entreprise sont à leur apogée.

Une cession d’entreprises sera également beaucoup plus simple à réaliser si la structure juridique des sociétés concernées est claire. L’organisation de la hiérarchie doit elle aussi faire l’objet d’une remise en ordre pour éviter les conflits internes. Enfin, une cession d’entreprises se fera plus rapidement si le dirigeant participe avec le repreneur au montage financier de la cession d’entreprises, en lui fournissant notamment tous les chiffres nécessaires pour convaincre les banques de le suivre dans son projet de reprise.

A voir aussi :
www.astuces-gratuites.com


------------

Cession reprise d entreprise

Cession et reprise d’entreprise constitue une part importante de l’économie française. Mais que recouvre exactement la cession ou la reprise d’une entreprise ?

Une cession ou reprise d’entreprise intervient lorsqu’une unité légale (SA, SARL ou toute forme juridique de société) met un terme à son activité et la confie à une autre unité légale.
Cession et reprise d’entreprise peuvent se faire à titre gratuit ou payant.

La cession et la reprise d’entreprise peuvent avoir lieu pour des raisons variées : départ à la retraite, entreprise en faillite ou changement d’activité professionnelle. Bien qu’elle puisse en théorie se faire gratuitement, la cession d’une entreprise correspond généralement à une mise en vente classique. Pour pouvoir fixer un prix, un audit complet est indispensable. Réalisé par un expert en cession et reprise d’entreprise, ce document s’appuiera sur l’actif net corrigé, un multiple de résultat et les flux de trésorerie prévisionnels.

Cession et reprise d’entreprise se déroulent en plusieurs étapes. Le propriétaire initial de l’entreprise doit prévoir à l’avance sa cession, afin de mettre de l’ordre tant dans son statut juridique que financier. Le repreneur doit avoir accès à des chiffres clairs, et à une structure aussi limpide que possible. L’audit de l’entreprise permet d’apporter des éléments objectifs pour l’évaluation du prix de l’entreprise. Ensuite, le propriétaire de l’entreprise la met en vente, par le biais de la Chambre du Commerce dont il dépend, mais également par l’entremise de sites spécialisés. Enfin, lorsque propriétaire et repreneur se sont entendus, la cession et reprise d’entreprise sera finalisée par la rédaction d’un acte de vente détaillé.